Le projet spiruline a bien commencé

Un lancement actif qui a suivit crescendo une série d’étapes de travail :

*Etude des documentaires  et des vidéos.

*Etudes des dossiers.

*Rencontres avec des  producteurs  en France/  et au Maroc

Je rentre tout juste de Chichaoua où nous avons rencontré Hassan, Basser et moi même Nadia et son mari qui avec l’aide de Cédric Coquet installe une unité  spiruline.

Nous avons ainsi pu déterminer  les conditions nécessaires à la réalisation de notre projet car les conditions climatiques de Chichaoua (80 km à l’ouest de Marrakech) sont quasi identiques  à zaouit sidi Ahmed. Sec – chaud.

Nous allons maintenant établir un  premier devis pour déterminer nos besoins.

Nous avons l’essentiel = l’eau (les deux puits), la terre pour la construction des bassins, les bambous pour les serres...

Nous pouvons espérer une production de 1KG par jour avec deux bassins de 50 m2 chacun.

Il devra être possible de revoir assez régulièrement Nadia et son époux dans le but de suivre leur  exploitation qui va renter en production dans quelques semaines.

Pas de concurrence …. Bien au contraire il sera intéressant de réfléchir ensemble et de s’aider.

Nous avons rencontré une femme exceptionnelle, pleine de projets et très dynamique.

 Les connaissances  de son mari dans le domaine agricole tient à la série d’expériences  qu’ils mènent  et  ont mené leurs permettant de rentabiliser leur production.Nous allons mettre en application certains conseils pour améliorer les cultures pour les vaches.

Merci pour votre accueil et votre disponibilité.

Je vais me rendre la semaine prochaine  chez un second producteur de spiruline  dans la région d’Avignon qui a soutenu un projet dans le nord du Maroc.

J’espère que nous pourrons avec la « cellule spiruline " du groupe Tamounte » nous y rendre en septembre pour que chacun d’entre vous puisse comprendre...Apprendre sur le terrain.

Nous avons  déjà un certains nombres de questions suite à notre visite samedi à Chichaoua.

Il est certain que cela ne sera pas facile mais  nos visites sur le terrain vont  nous permettre de profiter de l’expérience des producteurs et éviter peut être des  erreurs qui constituent des handicaps majeurs  ralentissant la production ou détruisant les souches.

Nous allons affiner notre recherche et approfondir  la lecture des manuels de bases : celui de Jourdan et de Dc Vidalo.


Il sera bien entendu qu’Hassan fasse un stage de formation essentiellement pour la gestion chimique des bassins.


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