retour à notre quotidien..
......, difficile, mes mains ne peuvent même plus s'animer pour écrire ces quelques mots, dur à exprimer. Copier ses sentiments sur un simple article est impossible mais vous en écrire des passages
est obligatoire, il faut que vous compreniez notre ressentis au retour de ces deux semaines extraordinaires.
Je ne vous cacherai pas que ma première réaction en me réveillant en France aura été de pleurer toutes les larmes que mon corps pouvait contenir. Cette expérience est assez indescriptible.
A Zaouit ils n'ont rien et pourtant ils ont tout, c'est eux les plus heureux, difficile à expliquer, il faut le vivre. Ce village nous changent littéralement. Les souvenirs emplissent nos petites têtes d'adolescents en recherche d'une quelconque identité, des souvenirs je le pense gravés à jamais.
Beaucoup trop de fous rires, de déprim' , d'amitié, de bêtises, d'ambiance, de bonne entente, d'amour, de simplicité, de vie ... J'ai perdu la notion du temps, il fallait profiter de chaque instant là-bas.
En faisant ce voyage, je ne pensais pas revenir changer comme je le suis et pourtant, c'est un monde à part, c'est ailleurs, revenir à la réalité de notre quotidien routinier est difficile. On se rend compte que le vie n'est pas comme on l'imaginait, tout ce qui nous entoure est superficiel, il y a tellement plus simple pour profiter de ce qu'on nous offre, les rapports primaires, les valeurs, le dialogue ...
Les gens là-bas, je pense à Mohamed, Ridouane, Hassan, Hicham, Basser, Timidou, Omar (Junior), Wassel, le petit Ayub, Omar (le chef) donneraient tant sans rien attendre en retour. Ils vivent leur village, ils pensent aux autres et pas seulement à eux-mêmes. J'ai appris à apprécier les choses simples et à profiter du Bonheur que nous offrent ces personnes.
Les travaux pour la fromagerie, les batailles de pierre, le balayage des bouses de vaches, la naissance du petit veau 'Fridome', Henry Salvador le potier de Tikirt, l'oeil retrourné de Ayub, le magasin de Tikirt aves les p....... au citron, les galère de PQ et de mouchoirs, les repas tous ensemble assis par terre autour d'une table, le couscous, le déplacement de matelas plan galère à 2h30 du matin, le décors de 'La colline a des yeux' sous une couverture, manger la terre, les soirées passé derrière la maison avec nos Marquises, la danse de LalaFtoma, les rares heures de sommeils à discuter à 4, les délires sur le trajet de la ferme "Tu le sens quand tu beug toi ?", les confessions sur un tas de caillou, Conséquence ou Vérité ? Joker ...
Et tant d'autres. Ces souvenirs sont gravés à jamais. Le retour à Avignon aura été vraiment difficile.
Merci pour tout à Valérie, c'est quand même grâce à elle que j'ai eu cette prise de conscience. On ne la remerciera jamais assez pour tout le bonheur qu'elle nous fait partager à Zaouit.
Merci aussi à ceux qui ont participer à ce voyage Avril 2oo8.
Et le plus grand des remerciments aux Zaoutiens, qui sont rééllement formidable.
Evidemment J'y retournerais sans me poser la moindre question.
Merci à Zaouit. <3 Une Elodie qui ne regrette pas d'être parti.
Je ne vous cacherai pas que ma première réaction en me réveillant en France aura été de pleurer toutes les larmes que mon corps pouvait contenir. Cette expérience est assez indescriptible.
A Zaouit ils n'ont rien et pourtant ils ont tout, c'est eux les plus heureux, difficile à expliquer, il faut le vivre. Ce village nous changent littéralement. Les souvenirs emplissent nos petites têtes d'adolescents en recherche d'une quelconque identité, des souvenirs je le pense gravés à jamais.
Beaucoup trop de fous rires, de déprim' , d'amitié, de bêtises, d'ambiance, de bonne entente, d'amour, de simplicité, de vie ... J'ai perdu la notion du temps, il fallait profiter de chaque instant là-bas.
En faisant ce voyage, je ne pensais pas revenir changer comme je le suis et pourtant, c'est un monde à part, c'est ailleurs, revenir à la réalité de notre quotidien routinier est difficile. On se rend compte que le vie n'est pas comme on l'imaginait, tout ce qui nous entoure est superficiel, il y a tellement plus simple pour profiter de ce qu'on nous offre, les rapports primaires, les valeurs, le dialogue ...
Les gens là-bas, je pense à Mohamed, Ridouane, Hassan, Hicham, Basser, Timidou, Omar (Junior), Wassel, le petit Ayub, Omar (le chef) donneraient tant sans rien attendre en retour. Ils vivent leur village, ils pensent aux autres et pas seulement à eux-mêmes. J'ai appris à apprécier les choses simples et à profiter du Bonheur que nous offrent ces personnes.
Les travaux pour la fromagerie, les batailles de pierre, le balayage des bouses de vaches, la naissance du petit veau 'Fridome', Henry Salvador le potier de Tikirt, l'oeil retrourné de Ayub, le magasin de Tikirt aves les p....... au citron, les galère de PQ et de mouchoirs, les repas tous ensemble assis par terre autour d'une table, le couscous, le déplacement de matelas plan galère à 2h30 du matin, le décors de 'La colline a des yeux' sous une couverture, manger la terre, les soirées passé derrière la maison avec nos Marquises, la danse de LalaFtoma, les rares heures de sommeils à discuter à 4, les délires sur le trajet de la ferme "Tu le sens quand tu beug toi ?", les confessions sur un tas de caillou, Conséquence ou Vérité ? Joker ...
Et tant d'autres. Ces souvenirs sont gravés à jamais. Le retour à Avignon aura été vraiment difficile.
Merci pour tout à Valérie, c'est quand même grâce à elle que j'ai eu cette prise de conscience. On ne la remerciera jamais assez pour tout le bonheur qu'elle nous fait partager à Zaouit.
Merci aussi à ceux qui ont participer à ce voyage Avril 2oo8.
Et le plus grand des remerciments aux Zaoutiens, qui sont rééllement formidable.
Evidemment J'y retournerais sans me poser la moindre question.
Merci à Zaouit. <3 Une Elodie qui ne regrette pas d'être parti.